La mode se démode, le style jamais
(Coco Chanel)

lundi 25 juin 2012

Comment j'ai craqué pour Desigual

Ca fait un petit moment que je voulais vous parler de Desigual, parce que c'est une marque que j'aime beaucoup. Je ne vous oublie pas, mais un petit souci technique m'a empêchée de poster hier soir (comprendre,  j'ai oublié d'emporter le chargeur de mon ordi perso et je n'ai plus de batterie).

Je ne sais plus quand, exactement, j'ai connu la marque, mais ça a rapidement été un vrai coup de coeur. J'aime leur originalité, les couleurs, les coupes... Tout cela étant assez paradoxal avec ma personnalité et ma (grande) volonté de passer inaperçu, de ne pas me faire remarquer. Mais que voulez-vous, je suis comme ça. Paradoxale.

Donc, Desigual m'a (presque) toujours fait de l'oeil... Dès que j'en ai l'occasion, à Paris, à Strasbourg, à Lyon, j'essaie d'aller faire un tour dans leurs boutiques et de m'imprégner de cette ambiance colorée. Et pourtant, je n'avais jamais craqué. Le prix m'a toujours freinée.

Pourtant, ce n'est pas faute d'avoir envie. Je craque complètement sur leur ligne de sacs à main. Ils correspondent vraiment à ce que je recherche. Et même si le fait qu'ils soient tant colorés semble les rendre difficiles à assortir avec une tenue, j'ai vraiment eu un gros coup de coeur.

Et dernièrement, je suis partie à Madrid. Le pays qui a vu naître la marque. Vous serez d'accord avec moi sur le fait que je ne pouvais pas repartir sans un pièce Desigual, ne serait-ce parce qu'il y avait une quinzaine d'euros de différence entre les prix européens et les prix espagnols.

Donc lorsque nous nous sommes retrouvés devant une boutique, j'ai bien sûr entraîné l'Homme à ma suite. J'ai fait timidement le tour du magasin... Et je suis repartie les mains vides. Il y avait presque trop de choix. Les robes, les chaussures, les sacs... Je ne savais plus sur quoi craquer. Et je n'étais pas dans une envie de dépenses. Je profitais de mes quelques jours dans la capitale espagnole pour souffler, me reposer.

Mais ne vous inquiétez pas pour moi, je ne suis pas malade. J'ai finalement craqué à l'aéroport. Passant par hasard devant une boutique de vêtements. En fouillant un petit peu, je suis tombée sur une superbe robe bleue qui, en toute modestie, m'a valu un certain nombre de compliments.

Bref, j'ai finalement craqué pour Desigual.
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1 commentaire:

  1. Bonjour

    Il y a un moment j'avais craqué sur un ou deux vêtements Desigual puis je me suis vite lassée, c'est le genre de vêtement que tu peux garder que pendant un temps et pourtant les prix sont quand même assez cher.

    Puis je me suis lassée aussi des couleurs mises un peu partout...

    Enfin bon on reconnait tout de suite un vêtement Desigual.

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